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oreste aime hermione qui aime pyrrhus qui aime andromaque qui aime hector qui est ... mort

THEATRE

collectif la palmera, d'apres andromaque de jean racine

VENDREDI 29 SEPTEMBRE

20h (durée 1h30)
12€ / 9€ tarif réduit

CHAPELLE

OUVERTURE DE SAISON - POT OFFERT À 19H30

Andromaque.jpg

Adapter Andromaque de Jean Racine est une vraie gageure, car cela sous-entend de rendre accessible un texte dense et profond, mais sans jamais en trahir le sens et la portée. Le Collectif La Palmera a donc décortiqué et étiré la pièce dans toutes ses limites pour en faire un spectacle destiné à tous les publics. Le spectateur est invité à (re-)découvrir et à (ré-)entendre cette tragédie avec la promesse qu’il ne sera jamais assommé, ni dérouté, ni égaré par la difficulté de la langue.

Ne prenez pas peur, Madame, restez-là, Monsieur et n’en faites pas une tragédie. Laissez-nous faire ! Commencez par vous défaire des vieux rideaux rouges, des fauteuils qui coincent les genoux, des ouvreuses revêches et de votre acharnement de collégienne ou de collégien à dénigrer ce que votre professeur de français vous proposait de découvrir.
Deux comédiens, pas plus c’est promis, se chargent de vous guider dans votre nouveau théâtre tout frais et tout neuf. La visite en vaut la chandelle et les coulisses regorgent de surprises.

Partagez un vers avec Oreste, Hermione, Pyrrhus, Andromaque qui ont accepté de vous recevoir dans l’intimité de leur être, nus comme des alexandrins.

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Nelson-Rafaell Madel et Paul Nguyen se partagent tous les rôles de la tragédie classique, et ils revisitent au pas de charge l’oeuvre de Racine, avec pour seuls accessoires des tentures de couleurs et des ballons gonflables. En 1h30, ils rejouent la guerre des Grecs et des Troyens en nous expliquant par le menu les aléas de ces passions souvent complexes, puis ils se lancent dans un extrait d’Andromaque, et on croirait voir surgir devant nous les figures raciniennes. Ce spectacle joyeux et alerte est une façon de dépoussiérer les classiques sans se prendre au sérieux, et aussi de démontrer qu’avec très peu d’argent mais beaucoup d’énergie et du talent, on peut parler l’alexandrin sans faire fuir les spectateurs. »
Joëlle Gayot, France Culture

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